Confiance en soi et paradoxe du courage
Confiance en soi et paradoxe du courage
La confiance en soi est indispensable à notre épanouissement, et à notre réussite.
Pour une majorité d’entre nous, la confiance en soi est la capacité à passer à l’action, à faire quelque chose sans avoir de peur, sans avoir de stress :
« Je n’ai pas osé parce que j’avais peur. »
« Je n’ai pas osé parce que j’étais stressé. »
Nous utilisons la peur et le stress comme prétexte pour ne pas oser :
« Je passerai à l’action et oserai le jour où j’aurai confiance en moi, et ce jour-là, sera le jour où je n’aurai plus aucune peur. »
La première fois que nous faisons quelque chose d’important pour nous, nous avons tendance à ne pas forcément être à l’aise.
Si on attend d’éradiquer la peur pour pouvoir agir, il y a de grandes chances pour que ce jour n’arrive jamais.
C’est le paradoxe du courage :
Quand on développe la capacité à agir malgré la peur, à faire des choses malgré l’inconfort, paradoxalement, la peur se réduit et la confiance en soi augmente, et ce, dès lors qu’on arrête de chercher ce fantasme de la confiance en soi et qu’on aspire davantage à la réalité du courage qui est d’oser faire ce qui est important pour nous.
Notre cerveau est en croissance à la frontière entre le chaos et l’ordre, entre suffisamment de confort et suffisamment d’inconfort.
Il n’aime pas l’excès de confort tout comme il n’aime pas l’excès d’inconfort.
Or, nous avons tendance à fuir l’inconfort pour aller vers le confort.
Notre énergie est dictée par l’extérieur :
Quand il fait beau, je me sens bien, quand il ne fait pas beau, je ne me sens pas bien.
Quand on me dit, t’es génial, je me sens bien, quand on me dit t’es nul, je me sens mal.
L’énergie que nous ressentons est liée à ce que le monde extérieur dicte de nous.
Et si nous faisons en sorte qu’elle soit plut à ce que nous dictons de nous-mêmes dans notre vie.
Développons la capacité à se sentir déterminé, certain, joyeux, serein, en paix alors que les événements extérieurs qui seraient censés nous déprimer arrivent.
Selon l’étude de Bronnie Ware :
95% des personnes en fin de vie regrettent de ne pas avoir fait ce qui était important pour elles.
Ces mêmes personnes regrettent de ne pas avoir créé les relations qui étaient importantes à leurs yeux.
Consacrons-nous à devenir la personne que nous avons envie d’être.
Donnons tout pour inspirer autour de nous :
C’est l’une des plus belles victoires que nous pouvons nous offrir.
Résumé effectué à partir d’une vidéo de David Laroche sur la confiance en soi.
Sa chaîne Youtube : https://www.youtube.com/c/DavidLarocheFrench
